Phytostérols et phytostanols : définition

Sommaire

Phytostérols et phytostanols : définition

Les phytostérols et phytostanols sont des substances d’origine végétale qui permettent de réduire l’absorption sanguine du cholestérol alimentaire au niveau de l’intestin et d’augmenter son élimination par les selles.
Les phytostérols (stérols végétaux) et phytostanols (stanols végétaux) ont une structure chimique proche du cholestérol, grâce à laquelle ils entrent en compétition avec le cholestérol dans l’intestin et empêchent son absorption intestinale.
Les
phytostérols et phytostanols sont estérifiés (processus qui facilite
leur solubilité) pour être incorporés dans des produits alimentaires :
surtout dans des margarines (c’est techniquement dans les corps gras que
les phytostérols se dissolvent le mieux) et aussi dans les yaourts et
spécialités laitières à boire.

 

Quels sont les enjeux réglementaires ?

La
réglementation européenne a autorisé la mise sur le marché des aliments
aux phytostérols ou phytostanols sous certaines conditions, qui doivent
obligatoirement être mentionnées sur l’étiquette (règlement CE n°
258/97 relatif aux nouveaux aliments et nouveaux ingrédients
alimentaires).
Ces produits doivent être consommés sous contrôle
médical et ne conviennent pas aux femmes enceintes, aux femmes qui
allaitent ni aux enfants.

 

Effets de phytostérols et phytostanols sur le taux de cholestérol

Une alimentation normale apporte environ 300 mg de phytostérols par jour.
Les
principales sources alimentaires étant certains produits végétaux :
huiles végétales vierges (olive, maïs, sésame, colza, carthame, pépins
de raisin), graines oléagineuses, fruits et légumes, légumineuses.
Mais
il faut un apport de 1 à 3 g/jour de phytostérols ou phytostanols
végétaux pour entraîner une baisse de 5 à 15 % du taux de LDL-cholestérol au bout de trois semaines d’utilisation, dans le cadre d’un régime pauvre en cholestérol.

Phytostérols et phytostanols : définition

Les phytostérols et phytostanols sont des substances d’origine végétale qui permettent de réduire l’absorption sanguine du cholestérol alimentaire au niveau de l’intestin et d’augmenter son élimination par les selles.
Les phytostérols (stérols végétaux) et phytostanols (stanols végétaux) ont une structure chimique proche du cholestérol, grâce à laquelle ils entrent en compétition avec le cholestérol dans l’intestin et empêchent son absorption intestinale.
Les
phytostérols et phytostanols sont estérifiés (processus qui facilite
leur solubilité) pour être incorporés dans des produits alimentaires :
surtout dans des margarines (c’est techniquement dans les corps gras que
les phytostérols se dissolvent le mieux) et aussi dans les yaourts et
spécialités laitières à boire.

 

Quels sont les enjeux réglementaires ?

La
réglementation européenne a autorisé la mise sur le marché des aliments
aux phytostérols ou phytostanols sous certaines conditions, qui doivent
obligatoirement être mentionnées sur l’étiquette (règlement CE n°
258/97 relatif aux nouveaux aliments et nouveaux ingrédients
alimentaires).
Ces produits doivent être consommés sous contrôle
médical et ne conviennent pas aux femmes enceintes, aux femmes qui
allaitent ni aux enfants.

 

Effets de phytostérols et phytostanols sur le taux de cholestérol

Une alimentation normale apporte environ 300 mg de phytostérols par jour.
Les
principales sources alimentaires étant certains produits végétaux :
huiles végétales vierges (olive, maïs, sésame, colza, carthame, pépins
de raisin), graines oléagineuses, fruits et légumes, légumineuses.
Mais
il faut un apport de 1 à 3 g/jour de phytostérols ou phytostanols
végétaux pour entraîner une baisse de 5 à 15 % du taux de LDL-cholestérol au bout de trois semaines d’utilisation, dans le cadre d’un régime pauvre en cholestérol.

Phytostérols et phytostanols : définition

Les phytostérols et phytostanols sont des substances d’origine végétale qui permettent de réduire l’absorption sanguine du cholestérol alimentaire au niveau de l’intestin et d’augmenter son élimination par les selles.
Les phytostérols (stérols végétaux) et phytostanols (stanols végétaux) ont une structure chimique proche du cholestérol, grâce à laquelle ils entrent en compétition avec le cholestérol dans l’intestin et empêchent son absorption intestinale.
Les
phytostérols et phytostanols sont estérifiés (processus qui facilite
leur solubilité) pour être incorporés dans des produits alimentaires :
surtout dans des margarines (c’est techniquement dans les corps gras que
les phytostérols se dissolvent le mieux) et aussi dans les yaourts et
spécialités laitières à boire.

 

Quels sont les enjeux réglementaires ?

La
réglementation européenne a autorisé la mise sur le marché des aliments
aux phytostérols ou phytostanols sous certaines conditions, qui doivent
obligatoirement être mentionnées sur l’étiquette (règlement CE n°
258/97 relatif aux nouveaux aliments et nouveaux ingrédients
alimentaires).
Ces produits doivent être consommés sous contrôle
médical et ne conviennent pas aux femmes enceintes, aux femmes qui
allaitent ni aux enfants.

 

Effets de phytostérols et phytostanols sur le taux de cholestérol

Une alimentation normale apporte environ 300 mg de phytostérols par jour.
Les
principales sources alimentaires étant certains produits végétaux :
huiles végétales vierges (olive, maïs, sésame, colza, carthame, pépins
de raisin), graines oléagineuses, fruits et légumes, légumineuses.
Mais
il faut un apport de 1 à 3 g/jour de phytostérols ou phytostanols
végétaux pour entraîner une baisse de 5 à 15 % du taux de LDL-cholestérol au bout de trois semaines d’utilisation, dans le cadre d’un régime pauvre en cholestérol.

Phytostérols et phytostanols : définition

Les phytostérols et phytostanols sont des substances d’origine végétale qui permettent de réduire l’absorption sanguine du cholestérol alimentaire au niveau de l’intestin et d’augmenter son élimination par les selles.
Les phytostérols (stérols végétaux) et phytostanols (stanols végétaux) ont une structure chimique proche du cholestérol, grâce à laquelle ils entrent en compétition avec le cholestérol dans l’intestin et empêchent son absorption intestinale.
Les
phytostérols et phytostanols sont estérifiés (processus qui facilite
leur solubilité) pour être incorporés dans des produits alimentaires :
surtout dans des margarines (c’est techniquement dans les corps gras que
les phytostérols se dissolvent le mieux) et aussi dans les yaourts et
spécialités laitières à boire.

 

Quels sont les enjeux réglementaires ?

La
réglementation européenne a autorisé la mise sur le marché des aliments
aux phytostérols ou phytostanols sous certaines conditions, qui doivent
obligatoirement être mentionnées sur l’étiquette (règlement CE n°
258/97 relatif aux nouveaux aliments et nouveaux ingrédients
alimentaires).
Ces produits doivent être consommés sous contrôle
médical et ne conviennent pas aux femmes enceintes, aux femmes qui
allaitent ni aux enfants.

 

Effets de phytostérols et phytostanols sur le taux de cholestérol

Une alimentation normale apporte environ 300 mg de phytostérols par jour.
Les
principales sources alimentaires étant certains produits végétaux :
huiles végétales vierges (olive, maïs, sésame, colza, carthame, pépins
de raisin), graines oléagineuses, fruits et légumes, légumineuses.
Mais
il faut un apport de 1 à 3 g/jour de phytostérols ou phytostanols
végétaux pour entraîner une baisse de 5 à 15 % du taux de LDL-cholestérol au bout de trois semaines d’utilisation, dans le cadre d’un régime pauvre en cholestérol.

Les Phytostérols et les Phytostanols
Conseils pratiques

En pratique


• Un apport de 2 g/jour de phytostérols équivaut à 20 g/j de margarine enrichie en phytostérols (deux cuillères à café).
• Un apport de 1,6 g de phytostérols équivaut à deux pots à manger ou une bouteille à boire (100 g) de spécialité laitière.
• On trouve également en pharmacie un complément alimentaire à base de bêtasitostérol et vitamine E (600 mg par gélule).
• Néanmoins, si la consommation de ces produits a un effet bénéfique sur la baisse du taux de cholestérol, elle ne peut être envisagée qu’en complément d’une alimentation frugale et équilibrée
: fruits et légumes riches en fibres et micronutriments (vitamines,
oligoéléments), réduction de la consommation de viandes (mauvais acides
gras saturés) et augmentation des bonnes matières grasses (acides gras
insaturés et polyinsaturés).

• Leur prise régulière à doses élevées réduit l’absorption de la vitamine E et des caroténoïdes (bêtacarotène). C’est pourquoi une alimentation équilibrée avec suffisamment de fruits et légumes riches en bêtacarotène est fortement recommandée (fruits et légumes rouge orangé).

 

Y a-t-il un risque à consommer ces produits aux phytostérols ?

Les produits alimentaires aux phytostérols ou phytostanols ne posent pas de problème en termes de sécurité alimentaire.
S’ils font baisser le taux de cholestérol, on manque néanmoins de recul en termes de bénéfice cardio-vasculaire et de bénéfice santé à long terme.
Ces produits ne concernent que les personnes qui ont un taux trop élevé de cholestérol (plus de 1,60 g de LDL-cholestérol (mauvais cholestérol).
Il y a une réserve pour ceux qui sont dits « hyperabsorbeurs », c’est-à-dire qui absorbent le cholestérol (et aussi les phytostérols) de façon trop importante, d’où un risque d’accumulation qui peut favoriser la formation de plaques d’athérome qui se déposent sur les parois des artères.

 

De quoi faut-il se méfier ?


Il faut se méfier de la quantité absorbée et ne pas consommer plus de 3 g de phytostérols par jour, en espérant obtenir un meilleur effet sur le taux de cholestérol.